
En effet, chez l’enfant, ce sont surtout les aires impliquées dans la récompense, la motivation et la mémoire. De plus, à la vue des aliments malsains, les enfants activent une région impliquée dans la motivation et la récompense localisée dans le cortex moteur de façon plus marquée que l’adulte. Les auteurs relèvent encore que les enfants avec un BMI élevé présentent moins d’activité dans les régions inhibitrices à la vue d’aliments malsains. Tout ceci indique que les enfants, en particulier si leur BMI est élevé, sont plus susceptibles d’être victimes des signaux de tentation. Une raison de plus pour préserver au mieux les enfants de l’exposition à de la publicité pour des aliments malsains…
Source : Food in action, Nicolas Guggenbühl, diététicien-nutritionniste
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