Kristina M. Durante, Ph.D au Department of Psychology de l’University of Texas- Austin, vient de publier les résultats d’une étude effectuée sur 52 jeunes femmes âgées de 17 à 30 ans, ne prenant pas de contraceptif.
Son étude, publiée dans l’une des revues Biology Letters de la « Royale Society of London » conclut que
les femmes à fort niveau d’œstrogènes seraient mieux disposées à la séduction et à l’infidélité. D’une manière générale, ces femmes se jugent elles-mêmes plus séduisantes et sont également considérées plus séduisantes par un panel d’hommes et de femmes que les femmes à plus faible niveau d’œstrogènes.
En bref, explique l’auteur, « plus vous êtes séduisante, plus vous êtes fertile ? » et donc plus encline à la recherche de partenaires.
« En reliant la biologie à la psychologie, en n’étudiant pas seulement le cerveau mais aussi le système endocrinien nous aboutirons à une nouvelle génération d’études » conclut le Directeur du département de Psychologie.
On savait déjà que les mécanismes physiologiques pouvaient influer sur la psychologie…
Accéder à l’Abstract (en anglais): http://journals.royalsociety.org/content/0544430m6n41h478/?p=2a9c116979bb473e831348d9ea4bfcc5&pi=0
Blogger : Yann-Mickaël Dadot
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